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- Jean Guyon (1592 Tourouvre - 1663 Beauport)Parenté avec Céline Dion Parenté avec Madonna Parenté avec Camilla, duchesse de Cornouailles Parenté avec Stéphane Dion18 septembre 1592 ! Alors que Henri IV tente de conquérir son Royaume, laparoiss.sochapel àes 1753b»Ditab» «tab»e Saint-Aubin de Tourouvre dans le Perche vit un bien modeste événement. Sur les registres paroissiaux, le curé rédige en latin l'acte de baptèmed'un nouveau paroissien: "Johannes filius Jacobi Guyon er Maria eus uxoris...". Le père Jacques est uns .sochapel àes 1753b»Ditab» «tab»notable et la mère s'appelle Marie Huet. On ignore de quoi fut faite la jeunesse du nouveau-né mais l'on retrouve sa trace sur un acte du 18 mai1614 où il prête une somme d'argentàun laboureur d'Autheuil. Unan plus tard, le 2juin 1615, il épousers .sochapel àes 1753b»Ditab» «tab»a en laparoisse Saint-Jean de Mortagne, Mathurine Robin qui lui donnera huit enfants avant de le suivre en Nouvelle-France. Quand son père décèdeen 1623, Jean Guyon vend la maison familiale de Tourouvre et se fixe à Mortagne, prenant sa mère avecrs .sochapel àes 1753b»Ditab» «tab»lui. Cette dernière disparaîtra trois ans plus tard. Probablement grâce à un héritage, la famille s'installedansune plus grande demeure,et la vie continue.Huisserie de la porte d'accès au clocher etescalier en pierre blanche commandée àJean Guyon.sochapel àes 1753b»Ditab» «tab»en 1615 Il exercera la profession de maçon. A 42 ans, dix jours après la naissance de son dernier enfant, Jean Guyon va céder aux propositions de Robert Giffard, médecin,chantre de l'émigration vers la Nouvelle-France et décide de tout quitter pouron.sochapel àes 1753b»Ditab» «tab»"faire, par lagrâce de Dieu, colonie aupays de la Nouvelle-France. "Si Robert Giffard tient à le recruter, c'est sans doute parce qu'il maîtrise son métier, et on ne saurait en douter puisqu'en 1615,on lui confie, en sa qualité de maître maçon,len.sochapel àes 1753b»Ditab» «tab»soin de doterl'église Saint-Aubin de Tourouvre d'un escalier d'une trentaine de marches conduisant au clocher. Cet ouvrage peut encore être admiré de nos jours.Dix ans plus tard, on recourre àses services pour la restauration des murailles deMorta,len.sochapelàes 1753b»Ditab» «tab»gne, ce qui témoigne également de la confiance dont il jouissait auprès du procureur syndic des habitants de la ville. Les fortifications étaient sans doute fort mal en point, car Mortagne avait changé 22 fois de mains pendantlesguerres deReligiolen.sochapel àes 1753b»Ditab» «tab»n!C'est le 14 mars 1634 que Jean Guyon et Zacharie Cloutier s'engagent à suivre Robert Giffard. Le seigneur promet de leur concéder des fiefs dans sa seigneurie de Beauport. Le notaire Roussel est-il distrait? Il semble que Giffard veut donner«à cholen.sochapel àes 1753b»Ditab» «tab»acun d'eux mille arpents de terre», mais le tabellion écrit «à chacun deux mille arpents». Quand vient lemoment pour le seigneur de respecter ses promesses, lesdeux pionniers reçoivent respectivement les arrière-fiefs de laCloutièrerieet du Buisso.sochapel àes 1753b»Ditab» «tab»n, celui-ci nommé d'après une petite rivière qui l'arrose. Guyon s'attribuera d'ailleurs ce surnom à particule.De cette erreur,il résultera une vive contestation.Legouverneur Huault de Montmagny intervintet iltrancha la question au bénéfice dusesochapel àes 1753b»Ditab» «tab»igneur.En mars 1634, Jean et les siens, à l'exception de sa fille Barbe et deson gendrequirejoindront le reste de la famille plus tard, quittent Mortagne. Embarqués à Dieppe, les Guyon parviennent après deux mois de traversée en juin 1634 à l'embusesochapel àes 1753b»Ditab» «tab»ouchure du fleuve Saint-Laurent.Huit des enfants,dont sixfils,semarieront et donneront à la colonieune pléiade de rejetons. Jean, qui prendra le surnom de son père, jette son dévolu sur Elisabeth Couillard (1645), la petite fille de Louis Héberbusesochapel àes 1753b»Ditab» «tab»t: 13 enfants. Simonépouse LouiseRacine (1653), fille d'Étienne et de Marguerite Martin: six enfants.Claude se marie avec une Parisienne, Catherine Colin (1655), originaire de la même paroisse que l'épouse de Samuel de Champlain, Saint-Germain-lrbusesochapelàes1753b»Ditab» «tab»'Auxerrois: 12 enfants.Denis unit sa destinée à celle d'Elisabeth Boucher (1659), fille de François et deFlorence Gareman: neuf enfants.Michel, sieur de Rouvray, charpentier de navires, choisit pour compagne Geneviève Marsolet (1662), filledeNicolrbusesochapel àes 1753b»Ditab» «tab»as, qui est sieur de Saint-Aignant, toutd'abord interprète arrivé en 1613 avec Samuel de Champlain, puispropriétaire de plusieursseigneuries dont celle de Bellechasse: 13 enfants. Enfin,François, ditDesprés, s'allie lui aussi avec uneMarsolet, pbusesochapel àes 1753b»Ditab» «tab»rénommée Marie-Madeleine (1662), lasoeur de Geneviève: 12 enfants. Notons que le mariage de ces deux derniers couples estcélébré le même jour, 4 septembre (1662); ilsont signé leurcontrat de mariage devant le notaire Audouardle 20 août précédentchapel àes 1753b»Ditab» «tab».Les deux filles Guyon doivent relever aussi le défi des familles nombreuses. Barbe, l'aînée de la famille, épouse le maître coutelierPierre Paradis, à Mortagne, en 1632; le couple a sept enfants avant de passer en Nouvelle-France et il en portequ?dentchapel àes 1753b»Ditab» «tab»atre autres à l'église après son arrivée. Quant à sa soeur, Marie, elle choisit pour époux un solide Normand, lemaçon François Bélanger, en 1637; celui-ci sera capitaine de milice sur lacôte de Beaupré et recevra,en1677, la seigneurie de Bonsecourchapel àes 1753b»Ditab» «tab»s (L'Islet). Le couple a 12 enfants.Jean Guyon estde toutes lesfêtesreligieuses et populaires. Ainsi,le Journal des Jésuites nous apprend que lors de la Fête-Dieu de 1646, il marche avec un autre migrantpercheron célèbre Zacharie Cloutier à la tecourchapel àes 1753b»Ditab» «tab»ête de la procession,et que, à l'occasiondu mariage de JeanGuyon du Buisson, le fils aîné du pionnier, avec Elisabeth Couillard, «il y eut deux violons à la noce, ce qui ne s'était pas encore vuau Canada».C'est en 1652 que Pierre Paradis et Barourchapel àes 1753b»Ditab»«tab»beGuyonarrivent en Nouvelle-France avec leur famille. Jean Guyon et son épouse possédent toujours leur maison à Mortagne. En 1653,ils la cèdent à la paroisse.Jean Guyon décéde le 30 mai 1663; Mathurine Robin l'avait précédé dansla tombe unan prchapelàes1753b»Ditab» «tab»lustôt le 17 avril 1662.Au fil des siècles, leurs enfants et descendants ont donné naissance à des générations de Guyon, devenus Guion ou Dion. Elles se sont installées au Québec, au Canada et aux Etats-Unis.En 1730,la lignée Guyon compte 2150perprchapel àes 1753b»Ditab» «tab»sonnes, ce qui la place ainsi au premier rang des familles françaises d'Amérique.238ans plus tard, le 30 mars 1968 naissait Céline Dion.source:d'après un article de Michel Ganivet publié dans l'hebdomadaire Le Perche daté du 1er janvier 1998.2150perprchapel àes 1753b»Ditab» «tab»
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