| Notes |
- Qui ?etait Antoine Baril? Fils de Antoine Baril et de Marguerite Mailhot-Boisclair, il fut baptis?e ?a Saint-Pierre les Becquets le 20 avril 1805. Il ?epouse en premi?ere noce, le 8 novembre 1831, Tharsile Pepin, fille de Michel Pepin et de Fran?coise Lanneville. Vers 1840, il demeure dans les Bois-Francs o?u il b?atit un moulin ?a scie sur la rivi?ere Nicolet. ? Victoriavillle, il ?erige le premier barrage, toujours sur la rivi?ere Nicolet. Tharsile Pepin d?ec?ede ?a Saint-Christophe, le 25 juin 1870; en secondes noces, Antoine Baril ?epousera, ?a Saint-Gr?egoire, Marie Parenteau. Il fut inhum?e ?a Saint-Christophe, le 14 avril 1884.
Le moulin du lot 178
Un premier contrat de vente, ayant rapport avec le moulin ?a farine, est ?etabli le 6 avril 1866, devant ma?itre Defoy, notaire public pour le Bas-Canada, r?esidant ?a Saint-?Edouard de Gentilly, entre Landry Lafond, cultivateur de Saint-Pierre les Becquets, d?une part, et Antoine Baril, cultivateur demeurant ?a Saint-Christophe d?Arthabaska et Pierre Houle aussi cultivateur demeurant ?a Saint-Pierre les Becquets, d?autre part.
Il s?agit d?un ? petit lot de terre situ?e ?a Saint-Pierre les Becquets, sur la c?ote sud de la rivi?ere aux Orignaux, contenant environ trois quart d?arpent de front sur environ un arpent et demi de profondeur, born?e en front ?a la dite rivi?aaaaere aux Orignaux et en profondeur ?a la cime de la c?ote d?un c?ot?e, ?a l?ouest au chemin public et de l?autre c?ot?e ?a l?est, partie ?a la dite rivi?ere aux Orignaux et partie au terrain restant au vendeur.
Avec ce terrain, vient aussi une entente, soit ? le droit de b?atir et ?eriger un moulin ?a farine sur le dit lot de terre et de faire gonfler l?eau de la rivi?ere aux Orignaux par une chauss?ee de la hauteur de 10 pieds et qui s??etendra aussi loin et autant que besoin sera sur le terrain appartenant au vendeur, sur le c?ot?e nord de la rivi?ere; bien entendu que le vendeur ne sera nullement garant des dommages ou r?eclamations des voisins et du public, les dits acqu?ereurs devant en faire leur propre affaire ?.
|
- 1884
