Our Family History
Notes
Résultats 8,201 à 8,250 de 9,705
# | Notes | Lié à |
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8201 | Rose Charlotte migrated to AUS from England 6- 9 -1926 on the ORAMA with her children Eddie and Mary leaving her husband in England. | PACKER, Rose Charlotte (I25753)
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8202 | Rosie was married in 1898, but by 1920, she lived with her mother and was considered single. What happened to James? North Adams Transcript (MA) -- Wednesday 07 Jul 1926 NORTH POWNAL Mrs. Rose McConnell and Mrs. George Wells of North Adams spent the weekend at the home of Mrs. McConnell's brother, Edward Arbour, in Mechanicville, NY. Times Record (Troy, NY) -- Thursday 03 Jul 1947 Mrs. Rose (Arbour) Wells, 74, wife of George A. Wells, died at her homein North Adams, MA, this morning after a brief illness. Mrs. Wells wasborn in Canada but moved to Cohoes where she lived for several years before moving to North Adams about 19 years ago. Survivors include two brothers, Albert and John; a sister, Mrs. Eva Nadeau, all of North Pownal, VT; and several nieces and nephews. The funeral will take place 9 amFriday at Sacred Heart Church, North Adams, and interment will be in Southview Cemetery, that city. She had 2 children | ARBOUR, Marie Rose-Anna Aldina (I5881)
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8203 | Roslyn never married or had children. She lived in Baton Rouge in 1900 and in 1910, in 1930, and in 1940, with her great-aunt. In Apr 1940, Roslyn reported that she had earned $1830 in 1939. The Advocate (Baton Rouge, LA) -- 06 Jul 1986 ARBOUR, ROSLYN B. Died 9:30 am Saturday, 5 July 1986, at Ollie Steele Burden Manor Nursing Home. She was 94, a native and resident of Baton Rouge. Visiting at Rabenhorst Funeral Home, 825 Government St., 4 to 6 pm Sunday. Visiting at Ollie Steele Burden ManorChapel,9 am until Mass of Christian Burial at 9:30 am Monday, conducted by the Rev. Frank Uter. Burial in RoselawnMemorial Park. Survived by a niece, Juliet Jolly Wallace, Shreveport; two great-nephews, Robert D. Jolly, Baton Rouge, and Edward M. Jolly Jr., Memphis, TN. She was a member of St Joseph Cathedral. | ARBOUR, Roslyn Blanche (I6797)
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8204 | Rotrude (femme de Charles Martel) Page d'aide sur l'homonymie Rotrude, Crotude, Chrotrude, Chrodtrudis ou Ruadtrud (c. 690 724) estla première épouse de Charles Martel (v. 690 741), maire des palais d'Austrasie et de Neustrie. Elle est la mère de Pépin le Bref, roi des Francs, et la grand-mère de Charlemagne. La seule information sûre dont on dispose au sujet de l'origine familiale de Rotrude est l'indication selon laquelle Guy, ou Wido, abbé laïc de Fontenelle assassiné1 en 743, était un propinquus de Charles Martel. Ce terme de parenté, assez vague, désigne une parenté proche par les femmes : un beau-frère, un cousin par les femmes ou un cousin par alliance. Ce Guy est identique au comte Guy, mentionné en 715 comme frère de Milon, évêque de Trèves, et fils de saint Liévin (de), évêque de Trèves.Ce dernier est connu comme l'ancêtre des Lambertides-Widonides, dont les prénoms montrent une parenté ancienne avec les premiers Robertiens. Du reste, le prénom même de Rotrude (Hrod-trudis) atteste une appartenance à la famille des Robert (Hrod-berth)2. Ici s'arrêtent les certitudes. En 1989, Christian Settipani se fait l'écho des hypothèses d'Anton Halbedel, émises en 1915 et reprises par Jean Depoin, Maurice Chaume et Szabolcs de Vajay : selon eux, propinquus aurait le sens de « beau-frère », desorte que Guy de Fontenelle serait le frère de Rotrude. Il en résulte la généalogie suivante3 : Dans son « Addenda aux Ancêtres de Charlemagne », il revient sur cette thèse et se rapproche de celle du professeur d'histoire médiévale Richard Gerberding, qui considère que rien n'oblige vraiment le rattachementde Rotrude aux Lambertides, et qu'elle se rattache peut-être directement aux Robertiens. Il signale que Charles Martel a eu trois épouses et que Guy est peut-être parent d'une des deux autres. Il conteste également l'analyse de Herbert E. Lemmel qui avait proposé la parenté entre les Lambertides et les Robertiens au travers des Agilolfinges. Cela donnele stemma suivant4 : Enfin, dans son Addenda aux Addenda paru en 2000, Christian Settipani revoit complètement la généalogie des Robertiens et propose un nouveau stemma5 : On voit par ce dernier stemma que Guy de Fontenelle est propinquus de Charles Martel, mais par Chrotais, la troisième épouse de Charles Martelnotes 1. Rotrude, elle, est rattachée directement aux Robertiens, commed'ailleurs Rothilde, et rapprochéede la mère de Saint Chrodegang, qui porte le même prénom qu'une fille de Rotrude. Le lien entre les Robertiens et les Lambertides-Widonides ne se fait plus par Willigarde, mais par Chrolanda ou Rolande, mariée à un fils de saint Liévin. Époux Aucun document contemporain ne la nomme comme épouse de Charles Martel.En 724, les Annales mosellani mentionnent le décès d'une Ruadtrud. Quele décès d'une femme soit mentionné à cette époque ne peut signifier qu'une seule chose, c'est que cette femme est l'épouse d'un roi mérovingien ou d'un des principaux princes du royaume. Plusieurs faits parlent en faveur de l'hypothèse selon laquelle cette Ruadtrud est la femme de Charles Martel. Tout d'abord, ce dernier se remarie peu après, en 725,avec la bavaroise Swanahilde, ensuite, le prénom de Rotrude apparait régulièrement dans la descendance de Charles Martelnotes 2. Enfin une litanie du Liber confraternitatum augiensis donne une liste de huit noms masculins, qui correspondent aux huit premiers souverains carolingiens («Karolus major domus, Pippin rex, Karlomannus major domus, Karolus imperator, Karlomannus, Karolus rex, Pippin rex, Bernardus rex ») suivie deneuf prénoms féminins (« Ruadtrud, Ruadheid, Svanahild regina, Bertha regina, Hiltikart regina, Fastrat regina, Luitkart regina, Ruadheid6, Irminkar regina »). La présence de Bernard ( 817) et d'Ermengearde ( 818) et l'absence de Pépin Ier d'Aquitaine ( 838) et de Louis le Pieux ( 840) permettent de dater l'élaboration de liste entre 818 et 838. Ruadtrud figure dans les trois premiers noms, dont on sait que le troisième est une épouse de Charles Martel7,8. Enfants De son mariage c. 705 avec Charles Martel, Rotrude a donné naissance à9: Carloman (705/710 17 août 754), maire du palais d'Austrasie de 741 à 747, avant de se retirer au monastère du Mont-Cassin, Pépin le Bref (v.715 768), maire des palais de Bourgogne, de Neustrie(en 741) et d'Austrasie (en 747), roi des Francs de 751 à 768, Hiltrude ( 754), mariée en 741 à Odilon, duc de Bavière, | MARTEL, Charles (I56459)
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8205 | Roy joined the RAF at the beginnning of the WW2 as a gunner and waslater made a Corpral he was killed in a plane crash in March 1940 aged23 and is burried at Brookwood Military Cemetery.Corporal 532409 RAF Friday 8th March 1940 Age 23 | JACKSON, Roy (I45895)
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8206 | Ruth had died by the time of the 1871 Census | ??, Ruth (I276)
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8207 | Sa première épouse s'appelait Colombe Gagnon. Colombe était une religieuse libérée de ses voeux parce qu'elle avait la tuberculose. Elle est morte trois jours après avoir donné un premier enfant à son époux Albinien 1926. Cet enfant s'appelait BerluessessErt),bres18 Rivitab» «tab»nadette (toujours vivante - mère de Jacques). Albini épousa en seconde noce Jeanette Proulx avec qui il eut 9 autres enfants. Jacques Lamothe ferndm a sympatico.ca | TREMBLAY, Albini (I82784)
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8208 | Sacré-Coeur-de-Jésus (détaché de Saint-Jacques-de-l'Achigan, Sainte-Marie-Salomée et Saint-Paul-de-Lavaltrie en 1921; renommé Sacré-Coeur-de-Crabtree en 1991; fusionné à Crabtree en 1996. | Famille: Joseph MARTIN / Marie BEAUDOIN (F14064)
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8209 | Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. | En vie (I33610)
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8210 | Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. | En vie (I33610)
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8211 | Saint-Hermas est un village et une ancienne municipalité du Québec (Canada)1. Cette municipalité est aujourd'hui incluse dans la ville de Mirabel. Elle était nommée en l'honneur de Saint Hermas, l'un des soixante-douze disciples du Christ2. | AUBE, Charles (I7788)
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8212 | Saint-Janvier - Weedon Le Semainier Paroissial https://www.semainierparoissial.com › paroisses eglise de weedon de www.semainierparoissial.com Saint-Janvier. Saint-Janvier paroisse érigée en 1906 source de la photo : Monique Bellemare. Saint-Janvier. Adresse 223, rue St-Janvier Weedon, QC J0B 3J0 | Famille: Alphonse PAQUET / Adele MAURICE (F14896)
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8213 | Sainte-Flore a été fusionné à Grand-Mère en 1970 | Famille: Philias BOISVERT / Angelina VINCENT (F3983)
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8214 | Sainte-Geneviève-en-Caux est une ancienne commune française appartenantmaintenant à la commune de Beauval-en-Caux située dans le département de Seine-Maritime en la région Normandie. | ADAM, Guillaume (I89518)
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8215 | Au moins une personne vivante ou marquée privée est liée à cette note - Les détails ne sont donc pas publiés. | Famille: Bryan MACDONALD / En vie (F13652)
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8216 | Sam was at home with his parents during the 1901 Census, but he seems to have set out on his own after that. By 1908, he was working as a lumberman in Little Current, ON, located on Manitoulin Islandin the Manitoulin District. After marryingand beginning his family, they left the Little Current area at some point after 1911. ___ Old Greenwood Cemetery, Sault Ste Marie, ON, CAN, Transcriptions:1992/93/94 by Sault Ste Marie District Branch of the Ontario Genealogy Society page 208, #2507 ARBOUR / Samuel B. 1878 - 1942 / Martha Ann 1887 - 1054 / H. Dorothy 1923 - 1993 ___ Bio from Facebook on 29 April 2010: 29 April 1878 -- Born in Port Severn, Ontario, Samuel Basile ARBOUR wasthe 5th of 7 children of farmer and mill worker Basile ARBOUR and his wife Ann Jane MOONEY. Sam was at home with his parents inWaubaushene during the 1901 Census, but heseems tohave set out on his own after that. By 1908, he was working as a lumberman in Little Current, ON, locatedon Manitoulin Island in the Manitoulin District. On 23 March 1908, Sammarried 20-year old Martha Ann WILKIN in Little Current.Their family expanded almost immediately with the birth of their first son less than 3 months later. He was followed by 2 brothers and a sister. Sam and family left the Little Current area at some point after 1911. They were found in Sault Sainte Marie, ON, by 1919and thereafter until Sam's deathin 1942. Martha passed away in 1954. Both of them were buried in Old Greenwood Cemetery in Sault Sainte Marie. They are responsible for 3 grandchildren and 3 great-grandchildren. | ARBOUR, Samuel (I4286)
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8217 | Samuel, Mary and John (Samuels father) buried in a family plot in the Church of Thomas a Becket, Bridford, Devon. Living at Higher Heltor in 1841 & 1851 (Census) Bridford. By 1861 Samuel is on his own at Higher Helter Cottage. | DYMOND, Samuel (I34014)
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8218 | sans aucun doute arrivée dans le Saint-Jean-Baptiste; apporte des biens estimés à 200L et un don du roi de 50L; | COLIN, Fille du Roi Anne (I82413)
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8219 | sans aucun doute arrivée 25-09-1667 Québec dans le Saint-Louis; | VEUILLOT, Fille du Roi Catherine (I87810)
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8220 | Sans postérité | CHALIFOUR, Marie (I77918)
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8221 | SANS POSTÉRITÉ | Famille: Charles DUBORD / Véronique ROY (F36057)
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8222 | Sans transition, j'ai le grand plaisir de vous annoncer que le généalogiste amateur Wilfrid Laurendeau (1899-1988) écrit, en 1964: NOTRE PREMIER ANCÊTRE JEAN ROLANDEAU Le vingtième jour du mois de janvier mil six cent cinquante, a été baptisé en l'église St-Pierre de Marsilly, France, Jean, fils de Louis Rolandeau [l'acte donne Roulandeau W.L.] et de Laurence Chauveau, Parrain: Jean Thumain, marraine: FrançoisePinaud, tous demeurant en la paroisse de Marsilly. «Le même couple avait eu en novembre 1647, un fils prénommé Hilaire; endécembre 1645 une fille Marguerite; en décembre 1643 une autre fille, prénom illisible; en septembre 1641 une Laurence et en juillet 1641 uneMarie». C'était au moins, le sixièmeenfant de cette famille, puisqu'on retrace cinq naissances qui précèdent celle-ci. Peut-être y en a-t-ileu d'autres dans la suite? Comme on vient de le voir, le fondateur de notre famille Jean Rolandeauétait originaire d'une commune qui portait alors et qui porte encore aujourd'hui, le nom de Marsilly. Cette commune est située sur la côte occidentale de France, sur l'océan Atlantique, à environ 10 kilomètres (six milles) au nord de la ville de La Rochelle. Cette commune compte aujourd'hui [en 1964 - P.L.] environ 900 habitants. Nous ne connaissons pas exactement la date de son arrivée au pays. Il semble bien que ce fut en l'année 1673 ou un peu auparavant. En effet, nous lisons dans l'Abbé Albert Dion [Topographie de Montmagny, 1935, p. 100] que «pendant la plus grande partie de l'été de 1674, Jean Guyon, Sieur du Buisson, faisait l'arpentage de la Seigneurie de la Rivière du Sud. Le consciencieux géomètre, armé du théodolite et de la boussole etaccompagné de son fidèle chaîneur' Jean Rolandeau, parcourant en toussens l'immense domaine, tirant les lignes, plantant les bornes, marquant les arbres et notant sur son carnet les particularités explorées. Quant à Jean Rolandeau, il compte parmi les premiers colons de St-Thomas,ses descendants ont pris le nom de Laurendeau». Ce qui est certain, c'est qu'en 1676, le 7 avril, Noël Morin concède à Jean Rolandeau une terre de trois arpents par quarante en «la seigneurie de St-Luc», qui devait être plus tard une partie de la paroisse de St-Thomas de Montmagny. Cette terre où notre premier ancêtre s'établit ainsi en arrivant au pays peut facilement être localisée. Dans le titre de concession de la Seigneurie de St-Luc au Sieur Morin nous constatons qu'elle commence à un arpent au dessous de la rivière à la Caille et remonte le fleuve St-Laurent jusqu'à l'étendue d'un quart de lieue. La seigneurie de St-Luc mesurait donc 21 arpents de front sur le fleuveSt-Laurent, soit cinq terres de trois arpents et une de 6 arpents de large. La terre de notre ancêtre était la dernière de ces terres, et située à l'ouest de la rivière à la Caille. On peut dire sans guère se tromper que cette terre se trouvait aux alentours où se trouve actuellement l'Hôtel-Dieu de Montmagny. La rivière à la Caille est connue encore aujourd'hui sous le même nom. C'est sur ses bords que commença la paroisse de Montmagny. La première chapelle de Montmagny fut bâtie sur les bords de la rivière à la Caille. Ce n'est que quatre-vingts ans plus tard, à la reconstruction de la troisième église que le centre de la paroisse de Montmagny fut déplacé et que l'église fut bâtie sur son site actuel. Le 4 août de l'année 1677, nous retrouvons Jean Rolandeau faisant encore de l'arpentage avec Jean Guyon du Buisson, dans la Seigneurie de L'Islet-St-Jean, appartenant à Mlle Geneviève Couillard, fille de Louis Couillard. Il contracta mariage le 24 avril 1680 à Québec, avec Marie Thibault de la Seigneurie de Maure aujourd'hui St-Augustin de Portneuf. Jean Rolandeau est accompagné de Pierre Joncas, l'un de ses voisins de la paroissede Montmagny; les autres témoins mentionnés à l'acte viennent de la seigneurie de Maure et accompagnent la mariée. Marie Thibault était l'aînée d'une famille de six enfants qui n'étaientpeut-être pas au mariage à l'église vu la grande distance et la difficulté des chemins à cette époque, mais qui prirent certainement part à la fête de famille qui remplit le reste de la journée. Elle a quatre soeurs, Louise, 13 ans; Marguerite, 12; Anne 10; Jeanne 6; et un frère Jean-Baptiste âgé de huit ans. Au recensement de 1681, nous retrouvons Jean Rolandeau, 30 ans, Marie Thibault, sa femme, 18 ans; il possède 2 fusils, 1 vache, 6 arpents en valeur. Cette vache dont il est fait mention dans ce recensement a toute une histoire que l'on peut reconstituer grâce à un acte du notaire Gilles Rageot; elle nous permet de lire le développement de la ferme de Jean Rolandeau. Nos pères pour la plupart commençaient leur carrière en ce pays sans autre capital que leur courage et leur énergie. La ferme que les autorités du pays leur concédaient gratuitement était couverte de bois et il fallait la défricher arpent par arpent. La tâche ne les effrayait pas Quant aux grains de semences et aux animaux, il fallait s'entendre avec les anciens habitants du pays pour se les procurer peu à peu. L'ingéniosité suppléait aux ressources et nous allons voir comment Jean Rolandeausut habilement se préparer lui-même et à son fils un troupeau de laitières. S'il pouvait s'en procurer une, le problème était réglé car la multiplication se fera assez rapidement; mais une laitière malgré les bas prix de cette époque était au dessus de ses moyens. Nous sommes au printempsde 1679, un an avant son mariage. Le prix de la laitière est plus élevé si elle est dans la vigueur de l'âge et en plein rapport, il l'est beaucoup moins dans les premiers moisqui suivent la naissance. Jean Rolandeau s'entendit avec un nommé Pierre Normand Labrière qui avait une future laitière alors âgée de six mois. Il en prendra soin pendant cinq ans et la lui rendra ensuite grande et belle; pendant l'intervalle sans doute Jean Rolandeau comptait qu'ilaurait commencé la multiplication du troupeau. C'est à l'expiration deces cinq années que nous rencontrons les deux parties chez le notaire Gilles Rageot pour prolonger le marché de trois autres années. Nous croyons intéressant de reproduire cet acte du notaire Rageot parce qu'il nous peint sur le vif la vie de nosancêtres pendant les premières annéesde leur séjour en ce pays, leurs difficultés, leurs efforts et leur mérite. Ce qui se passe chez Jean Rolandeau, nous l'avons rencontré chez les voisins qui l'ont précédé, nous le reverrons chez ceux qui arriverontaprès lui. Nous verrons ensuite la situation s'améliorer chez chacund'eux d'année en année grâce à un travail constant, et le confort et l'aisance arriver rapidement. En 1696, Jean Rolandeau vend sa terre à Denis Proulx, fils de Jean Proulx (Contrat Rageot, 30 juin). Terre de 5 arpents sur 40 de profondeur «joignant d'un côté Denis Huet dit Laviolette, de l'autre côté les terres non concédées, d'un bout la Rivière du Sud, et de l'autre bout, les terres descendant vers le fleuve St-Laurent». Cette terre vendue à DenisProulx n'est pas celle que lui avait concédée Noël Morin en 1676. Dansle plan de la seigneurie de la Rivière du Sud, sur la carte de Catalogne [sic] en 1705, nous voyons que Jean Rolandeau possède encore cette même terre, située entre Jean Proulx et Pierre Blanchet. Il possède également à cette même date une autre terre située un peu plus loin, entre celle d'un nommé Fournier et une terre non concédée. L'«Aveu et Dénombrement» rendu par les seigneurs de la Rivière du Sud, en 1732, nous montre que Jean Rolandeau a laissé à ses héritiers une terre de 3 arpents sur 84, une maison, une grange, une étable, et 16 arpents de terre labourable. Il est de toute évidence que cette terre est la même que lui a concédé Noël Morin en 1676, plus une autre terre au bout de celle-ci dans les profondeurs, puisqu'il possédait 84 arpents en longueur au lieu de 40. À la date du 21 août 1700, on trouve dans les minutes du notaire Chamballon un acte relatif à la succession de Marie Thibault, la femme de Jean Rolandeau, elle reçoit la part de sa mère, partagée en cinq parties. La succession se règle à l'amiable.Jean Rolandeau et ses beaux-frères Gilbert et Alary acceptent en règlement la somme de 150 livres chacun et10 minots de blé. Jean Rolandeau faisait affaire avec un nommé Macaud,marchand de la ville de Québec, et il stipule que son argent et son blédevront être payés au dit Macaud. «On conçoit difficilement aujourd'hui quelle somme de courage, d'énergie, d'héroïsme même devaient avoir ceux qui se dévouèrent à la colonisation. Pour donner naissance à la paroisse de Saint-Thomas de Montmagny, ces braves durent s'enfoncer dans les bois, à trente milles de Québec, s'exposer aux dangers de tomber entre les mains des Iroquois qui visitaient souvent ces lieux de chasse et de pêche. Et de quels instruments se servaient-ils pour attaquer les arbres séculaires de nos forêts encore vierges, d'une simple hache. À cette époque, les chevaux étaient inconnus au pays; bien peu d'habitants avaient la bonne fortune de posséderun boeuf ou deux qu'ils pouvaient utiliser à traîner les arbres et à les mettre en monceaux pour les brûler ensuite. À ces difficultés presque incommensurables, il faut ajouter encore les privations, les misères,les accidents imprévus qu'ils devaient rencontrer. Ceux-là seuls qui ont vécu dans des endroits nouvellement ouverts à la colonisation, quiont goûté un peu à la vie de colon, comprendront la vaillance des preux dont nous faisons connaître les mérites. Puisse la génération ne pas oublier ce qu'elle doit et marcher sur leurs traces de courage et de vertus chrétiennes.» [Azarie Couillard Després, Histoire des Seigneurs de laRivière du Sud, 1912, p. 20] Jean Rolandeau et Marie Thibault eurent une famille de 7 enfants; six filles et un fils, qui est le continuateur de la lignée et l'ancêtre de tous les Laurendeau du pays. Ils furent inhumés tous deux à St-Thomas de Montmagny. Le premier le deux février 1715, et son épouse le 17 août 1711. . Wilfrid Laurendeau (1899-1988), Généalogie des Familles Laurendeau - 1680-1960, Montréal, 1964, chez l'auteur (avec approbation du Provincial des Oblats), 224 pages + une annexe de 54 p. Je cite ici les pp 4-7 dont j'ai expurgé une douzaine de notes de bas de pages qui sont principalement des renvois à des documents annexés (eux-mêmes de simples copies dactylographiées d'originaux non photocopiés). . Et le généalogiste amateur Wilfrid Laurendeau (1899-1988) écrit encore: La deuxième génération nous amène l'altération du nom Rolandeau en celui de Laurendeau. Aucun document nous en donne la cause; seul le contratde mariage du deuxième ancêtre nous prouve le changement. Wilfrid Laurendeau (1899-1988), Généalogie des Familles Laurendeau - 1680-1960, Montréal, 1964, chez l'auteur (avec approbation du Provincial des Oblats), 224 pages + une annexe de 54 p. En p. 9. . Donc, comprenons-nous bien: malgré l'existence tranquille et ancienne du patronyme Laurendeau en France, tous les généalogistes nord-américains s'accordent, sans débat dubitatif aucun, sur le fait que l'ancêtre detous les Laurendeau d'Amérique de souche ancienne n'est pas un Laurendeau mais un Rolandeau. Ce fait, peu banal, n'est pas contestable. Il y a donc eu un rapide changement de patronyme, in situ, circa 1701 (date de la naissance de Louis-Joseph Laurendeau). Et, pour le coup, puisqu'on la prend ici sur un ton de généalogie amateure, je vais vous fourguerl'hypothèse d'Ysengrimus sur le susdit changement de patronyme. Elle est parfaitement charmante et elle en vaut bien une autre. À un peu moins de 400 kilomètres au nord-est deMarsilly, il existe, dans le Loiret, un tout petit bras d'eau qui s'appelle La Rolande. Je me plais donc à imaginer qu'un des aïeux hexagonaux de l'ancêtre venait de par là. On peut donc se plaire à supposer qu'en référence à ces origines spécifiques(que j'invente intégralement ici, comprenons-nous bien), Jean Rolandeau sentait son patronyme assez fortement comme découlant (boutade) d'un hydronyme. Arrivé au Canada, patatras, plus de Rolande mais un fleuve Saint-Laurent. Le sentiment hydronymique, toujours supposé présent et intime, couplé à une très solide proximité de prononciation du L et du R massivement attestée, elle, au dix-septième siècle (Marcel Juneau 1972,pp 159-177) auront joué le tour. Je suis attendri du fond du coeur par cette jolie hypothèse malgré la bien évidente fragilité de certains de ses aspects. La confirmation de cette fragilité réside dans le fait, tout simple mais implacable, que les deux patronymes Rolandeau et Laurendeau ont insistons sur ce point une bonne et vénérable présence ici et là en France (y compris dans desterritoires parfaitement non irrigués) et qu'ils trouvent leurs racines ordinaires dans des étymons totalement non-hydronymiques (Roland et Laurent, tout simplement). L'historique de ces deux patronymes, fort honnêtement exposé ICI par un autre Laurendeau écornifleur, ne laisse aucun doute sur ce point. Rolandeau et Laurendeau se sentent, en plusieurs points, parallèlement et indépendamment, entre autres, comme petit Roland ou petit Laurent (notamment pour tout simplement dire fils de Roland, fils de Laurent). Fin du drame. Enfin quand même il reste de tout cela la non négligeable force d'attraction du nom du majestueux Saint-Laurent qu'il est difficile de ne pas voir jouer un rôle dans la stabilisation généalogique et ethnoculturelle de cet intervertissement, sommetoute assez courant, linguistiquement parlant, de deux consonnes (intervertissement qu'on appelle, en phonétique historique, une métathèse à distance). L'hydronymie est certainement quand même venu faire sentir son petit reflux, dans la genèse nord-américaine du beau nom de Laurendeau. À tout événement, je n'aurai finalement qu'un mot: salut l'ancêtre. | Famille: Jean ROLANDEAU / Marie THIBAUT (F13879)
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8223 | Sarah Alice Darby died of influenza and Bronco pneumonia in the armsof her father John Henry Darby, | DARBY, Sarah Alice (I29032)
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8224 | Sarah married (MRIN:31) William KERRUISH-201 son of William KERRUISH-228 and Ann JOUGHEN-229 (MRIN:101) on 27 Jun 1818 in ,Maughold. William was christened on 21 Feb 1787 in ,Maughold. He died on 11Mar 1860 in Ballellin,Maughold. He was buried in Old Churchyard,Maughold. | CORTEEN, Sarah (I27076)
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8225 | Sarah's mother Priscilla witnessed the marriage with a mark. | PITTMAN, Sarah (I34003)
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8226 | Sault Channels (Sault Ste Marie, ON) -- Winter 1994 -- p7 IN MEMORIAM DOROTHY ARBOUR Suddenly at the General Hospital, Sault Ste Marie, ON, on Tuesday 23 November 1993. Dorothy Arbour in her 70th year. Daughter of the late Samuel and Martha Arbour. Predeceased by her brothers Douglas(late Floris) and Lloyd (late Minerva). Dear auntof Joan Fazi (husband Frank) of Sault Ste Marie, MI, Paul Arbour (wife Kay) and Brian Arbour (wife Ann), both of Sault Ste Marie, ON. Great-aunt of Mary Anne Fazi, Kristine & Gregory Arbour. Dorothy joined the Sault District Branch in1982. She wasafaithful member of our branch and OGS and will be greatly missed. | ARBOUR, Harriet Helen Dorothy (I4285)
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8227 | Saunders, Solange Peacefully at home, surrounded by family on Saturday, March 29, 2014 atthe age of 73. Survived by her loving husband of 50 years, Ira Saunders, daughters Debbie, Christine (Greg) and Jennifer (John)and her four special grandchildren; Danielle, Caitlin, Tyler and Jayden. Also survived by her sisters Lisette and Lauraine, and her brother Robert. Predeceased by her parents Marie and Omer Arbour and her brother Roland. She also leaves behind several brothers-in-law, sisters-in law,nieces and nephews, extended family and friends. Friends and family are invited to visit at Beechwood, Funeral, Cemetery and Cremation Services, 280 Beechwood Avenue (East of Vanier Parkway), Ottawa on Wednesday, April 2 from 1pm until time of Memorial Service in the Sacred Space at 2pm. In lieu of flowers, donations to a charity of your choice would be appreciated. On behalf of the family I would like to take a minute and thank all of those who are here today and all of those who could not be here in person but who are with us in their hearts. The service was beautiful and Iespecially would like to thank AuntLisette, Aunt Dorene, Josee, Julieand Garth for making this memorial so special. Mom would have loved to see each and every one of you here and I am sure she would wonder what all the fuss is about. For mom it was always about putting everyoneelse first (especially those spoiled grand kids!!)! I hope you can all stay to join us at the reception to say hello and to share some memories with us. If I can make it through, I will leave you with this final poem. You can shed tears that she is gone or you can smile because she has lived You can close your eyes and pray that she'll come back Or you can open your eyes and see all she's left Your heart can be empty because you can't see her or you can be happy for tomorrow because of yesterday. You can remember her and only that she's gone or you can cherish her memory and let it live on You can cry and close your mind, be empty and turn your back or you can do what she'd want: smile, open your eyes, love and go on. By Jennifer Pyne(Saunders)Web content link:http://beechwood.permavita.com/siteContent/memorial.html?personId=251385&source=memlistObituaryWeb content link:http://beechwood.permavita.com/siteContent/memorial.html?personId=251385&source=memlistObituary | ARBOUR, Solange (I6857)
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8228 | Second daughter of Richard Trudgeon 821 and Harriet 2113. Born at Wawanosh Township, Huron County, Ontario, 4 March 1874, and died 22 October 1876, and is buried at Brussels. | HINGSTON, Alice Rebecca (I44924)
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8229 | Second daughter of William Gillard 818 and Elizabeth 2112. Born at Victoria Square, 1 March 1843, and died 21 July 1844. | HINGSTON, Mary Elizabeth (I44966)
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8230 | Second son of Richard Trudgeon 821 and Harriet 2113. Born at Brussels 4November 1869. Learned the trade of tinsmith there; went to Holland, Manitoba, about 1890, to Dawson, Alaska, in 1898, returnedto Holland in 1902, going to British Columbia, andfrom there to Fairbanks, Alaska, in 1905 or 1906. | HINGSTON, William George (I44987)
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8231 | Second son of William Gillard 818 and Elizabeth 2112. Born at Victoria Square, 26 June 1838. Married 1 January 1867, to Harriet Haycroft 2113 of Brussels, formerly of London, England. They had nine children - JohnAddison 836, William George837, Emily Elizabeth 838, Alice Rebecca 839, Ida 840, Carrie Alberta 841, Louisa 842, Charles Richard 865, and Albert Edward 920. (Died May 2, 1914, Brussels | HINGSTON, Richard Trudgeon (I44925)
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8232 | Section x, Number 1956 | SHAW, Thomas Henry (I71074)
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8233 | See note for Frank Corteen | CORTEEN, Edward (I26928)
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8234 | SEE THE STORY OF THE FAMILY SIDNEY V. ARBOUR, JR., FAMILY PAPERS Mss. 5075 Inventory Compiled by Luana P Henderson Louisiana and Lower Mississippi Valley Collections Special Collections, Hill Memorial Library Louisiana State University Libraries Baton Rouge, Louisiana State University | ARBOUR, Sidney Vincent (I1950)
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8235 | seeking help with the above name couple family.this what I have found so farPierre Harbour/Arbour/Irbour dit Carrica b. about 1674 died between 1748 and 1755 maried toSuzanne Moreau b. 1704 died between 1748 and 1755.Pierre and Suzanne listed as alive at Mathurin marriage but dead atDominique's marriageCensuses for St. Pierre De Nord, I'lle St. Jean(now Prince Edward Island, Canada.1728 Pierre has a wife & 1 son1730 Pierre has a wife & 2 children1732 Pierre has a wife & 2 sons,2 daughters1734 Pierre age 60 has a wife age 30 & 2 sons (ages 8 and 6) 2 daughters (ages 4 and 2)1735 Pierre has a wife & 2 son, 2 daughters.Pierre & Suzanne have the following childrenMathurin bc. 1725-d.1761 m. 1748 FeliciteArchamaultDominique b. 15 Nov. 1727-d. 3 Oct. 1794 m. 1755 Angelique Pelletierdaughter age 4 in 1734 born circa 1730Suzaane b. 29 Apr 1732Marguerite b. 14 Jun 1734Marie Therese born when??] m. by 1756/57 Jean-Andre SAVOIE [I am from their daughter Marie Anne m. Jean Baptiste Thibodeau]my question is 1735 census there 2 daughters is one of them my MarieTherese or is she born after 1735.Also who does the Isabella Arbour marring in 1750 Jean Turenne at Louisbourg belong to? is she a daughter ofPierre and Suzanne? | ARBOUR, Pierre (I3340)
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8236 | Seigneur de Bonneval | ST-MAURICE, Abel (I29722)
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8237 | Seigneur de La Salle et Padiès | DE ROQUEFEUIL, Arnaud (I69590)
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8238 | Seigneur du Crouzet | DE CRESPON, Jacques (I28298)
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8239 | Seigneur du Dourn et de la Bastide | DE CRESPON, Antoine (I28291)
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8240 | Seine | Famille: Jean MARTEL / Francoise PERROT (F32720)
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8241 | Sélectionner le conjoint correspondant dans votre arbre Nom Marie-Catherine Constantineau Naissance Date : 1656 Naissance Lieu : Saint-Martin-de-Ré, Departement de la Charente-Maritime, Poitou-Charentes, France Décès Date : 12 May 1712 Décès Lieu : Quebec, Capitale-Nationale Region, Quebec, Canada Enterrement Lieu : Quebec, Capitale-Nationale Region, Quebec, Canada Nous n'avons pas trouvé d'autres correspondances possibles. Pour empêcher des erreurs, nous avons limité la sélection aux personnes qui peuvent être le conjoint de Michel Arbour. | CONSTANTINEAU, Marie Catherine (I26524)
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8242 | Selina is shown aged 8 and born in Kingsteignton and registered at Bishopsteignton in the 1901 census. Surname First name(s) District VolPage ----------------------------------------------------------------- --------------- Births Jun1893 ----------------------------------------------------------------- --------------- WARREN Selina Elizabeth Newton Abbot 5b 130 | WARREN, Selina Elizabeth (I34038)
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8243 | Selon 1880 US Census, cette famille habitait aux USA en 1880, Le recencement Canadien de 1881 les retrouvent au Canada. | CHOQUETTE, Honore (I25356)
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8244 | Selon actes de naissance de Marie Anne Hélène et Thomas Sylvain. | Famille: Thomas Sylvain BOISSONNEAULT / Marie Anne Hélène BOISSONNEAULT (F19438)
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8245 | Selon Aline Bellavance (né Bergeron): Elle aurait passée 6 semaines à l'hopital avant de décéder d'une hémoragie cérébrale. On devait justement la libérer ce jour là. Avant de mourir, elle aurait déclarer à Aline qu'elle avait une belle robe pomme acusaole?ees18 Rivitab» «tab»ée rouge. Elle confondait alors Aline avec Gabrielle, sa propre soeur. | BOISSONNEAULT, Marie Berthe Emma (I158)
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8246 | Selon Aline Bellavance (née Bergeron): Berthe aimait beaucoup jouer auxcartes. Elle le faisait toujours avec un tricot dans les mains. Elletricotait aussi des tapis qu'elle allait ensuite vendre pour pouvoir payer des permanentes à sesfilles. Selon La Frontière, vendredi 29 juillet 1955: Mme Joseph Bergeron, née Berthe Boissonneault, est décédée à l'hôpital Youville lundi le 18 juillet, à l'âge de 55 ans et 6 mois. Elle laisse dans le deuil son époux,ses filles, Mme Adrien Gravel (Germme acusaole?ees18 Rivitab» «tab»maine), Mme Jean-Claude Lévesque (Simone), Mme C.-E. Bellavance (Aline), Mme Sylvio Paré (Jeannine), Soeur Marie Théona (Théona), Ghislaine; ses fils, René, Urbain, Désiré; ses gendres et belles-filles; des petits-enfant. Les funérailles ont eu liermme acusaole?ees18 Rivitab» «tab»eu àMalartic. | BOISSONNEAULT, Marie Berthe Emma (I158)
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8247 | Selon autre info. ne le 15 nov. 1905Parrain; Samuel KaigleMarraine; Rose de Lima DandurandNoms; Joseph-Vezina-Armand-Rodolphe | KAIGLE, Armand (I47250)
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8248 | Selon Avis de décès. | ARBOUR, Suzanne (I88939)
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8249 | Selon certain, elle serait Indienne. Pour d'autres elle viendrait de Picardie en France Jette states she was a fur trader | MORISSEAU, Marguerite Dorothee (I89366)
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8250 | Selon certains documents, il pouvait porter le nom de Hirbour | HARBOUR, Mathurin (I2716)
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